Lifestyle & bien-être - Yoga teacher
27 Janvier 2014
Je ne connais pas de rupture qui n'ai pas causé de souffrance... bien sûr le temps passé parfois les choses se passent mieux et l'entente peut ressurgir... mais au moment de la fin d'une histoire, il y a forcément des déchirures...
Parce qu'il n'y avait sans doute pas d'amour il n'y aurait pas eu de larmes,
Parce qu'on a l'impression à ce moment précis que la vie s'arrête et qu'on ne pourra plus avancer, plus construire, plus vivre même parfois... plus aimer c'est sûr... et finalement la vie continue et tout passe... et parfois même c'est mieux après...
Mais tout ça on le sait plus tard...
Je suis partie dans les histoires qui ont compté, j'ai quitté, j'ai assumé... la première fois j'avais 20 ans et je quittais celui qui restera mon amour d'enfance, 5 ans, le premier amour, celui a qui on dit (et on le croit) c'est pour la vie... et pourtant à 20 ans, dans les larmes, j'ai arrêté une histoire, c'était un peu franchir un pas dans ma vie d'adulte, grandir... c'était dur même si c'était moi, mais mon chemin s'écrivait ailleurs, je grandissais, j'avais envie de tout vivre, tout voir, sortir de mon cocoon doré !...
Et puis je croyais parce que je l'avais vécu cette fois-ci, que rien ne serait un jour plus difficile que cette décision là qui été si symbolique, un pas vers demain...
Bien sûr qu'on connait tous à un moment une rupture, on souffre ou l'on fait souffrir... jamais la fin d'une histoire est rose !
Et depuis samedi, la suite logique au grand déballage à laquelle nous assistons depuis quelques jours, c'est la rupture de la vie commune entre "François et Valérie" comme il circule sur twitter...
Si je ne l'ai jamais trop apprécié, pas assez chaleureuse à mon goût, hautaine, autoritaire, j'avoue que depuis quelques jours je me surprends à avoir de la compassion pour l'ex première dame... Se faire humilier dans le monde entier, parce que partout la presse s'est fait emparée de cette histoire de président volage,
Jusqu'à se faire larguer avec un laconique communiqué de presse officialisant la fin de l'histoire... quitter l'Elysée et ses dorures, ses fastes, son cabinet, le personnel... et se retrouver seule...
Et j'imagine que le grand déballage qui va suivre ne sera sans doute pas facile à avaler...
Il va sans dire qu'à ce niveau là, les douleurs sont les mêmes pour tous, qu'on soit connu ou pas... mais sans aucun doute la couverture médiatique doit être encore plus compliquée à gérer lorsqu'on souffre...même pour une professionnelle des médias !
Il y a en à au moins deux qui peuvent remercier Closer d'avoir fait son boulot et oser balancer la sauce... parce que sinon jusqu'à quand le cinéma aurait duré...jusqu'à quand La première dame aurait été humiliée... et nous bernés ?
Au non ne me répondez pas trop facilement, elles ont toutes été des potiches, cocues... et c'est normal !...le pouvoir etc... les hommes etc... la vie privée etc... quand on est président de la République, non on est pas un citoyen "normal", non la vie privée ne reste pas complétement privée, oui on peut adopter une tenue irréprochable mais pour ça il faut s'en donner les moyens...etc... ah oui au fait ce n'était pas Valérie Trierweiler qui ne voulait pas être une potiche comme les autres femmes de président en début du mandat...
Et bien voilà qui est fait...
et balayé...
Yoga Teacher
Aventurière de l'âme
Love moon
Voir le profil de Virginie B sur le portail Overblog