Ce que je retiens de "connaître son cerveau pour mieux manger"

J'ai emprunté ce livre à ma médiathèque, faut dire que le "oui oui , c'est prouvé le chocolat est bon pour le moral" sur la couverture, m'a fait de l'oeil,

Disons qu'en ce moment je suis intéressée par les neurosciences et je suis curieuse de savoir si l'alimentation a un vrai impact sur notre cerveau,

Et dès la première page j'ai obtenu ma réponse mais qui a suscité ma curiosité pour en savoir davantage, merci Jean-Michel Lecerf, d'avoir su rendre accessible à tous ce thème passionnant.

En tous les cas voici quelques points que j'ai retenu :

• Lorsque le glucose vient à manquer de façon prolongée, le cerveau commence à utiliser des substances nommées cétones, pour ce faire,...., cela provoque des phases de fatigue accrue expliquant par exemple pourquoi les personnes faisant un jeûne de plusieurs jours se plaignent temporairement de baisses de concentration et de maux de tête.
• la caféine, en quantité modérée, dilate les vaisseaux sanguins dans le cerveau, augmente les capacités de concentration et de mémorisation
• la distraction durant le repas augmente la quantité d'aliments consommée mais plus encore celle consommée aussi plus tard dans la journée, comme si l'état de satiété était diminué.
• l'activité physique est un chainon essentiel entre le cerveau et l'intestin, ainsi le lien "descendant" entre cerveau et périphérie se fait en grande partie via le système nerveux autonome qui est justement entretenu par l'exercice physique !

Je vous conseille vivement cette lecture pour mieux comprendre comment nous fonctionnons afin de mieux comprendre aussi tout ce qui tourne autour de l'alimentation, gluten, bio, l'effet nocebo, grossir-maigrir et même l'orthorexie...

J'ai retenu aussi que tous les troubles alimentaires peuvent trouver des solutions dans des exercices de pleine conscience en méditant !

(A découvrir également Madame médite)

A découvrir aux éditions Belin